Comme dieu le veut

Rino Zena, psychopathe néo-fasciste, alcoolique, nerveux et méchant, élève son fils seul. Un fils qui oscille entre tendresse, peur et fascination envers son père, seulement paternel et affectueux les « jours de la bonne impression », quand l’assistante sociale vient surveiller le tandem. Rino et ses amis alcooliques vont s’embarquer dans le casse d’un distributeur avec une pelleteuse, qui tournera à l’apocalypse.

Un roman bouillonnant, portrait noir et caricatural d’une part de l’Italie que l’auteur voit abrutie par l’alcool et le consumérisme. Un livre qui n’est pas sans rappeler Affreux, sales et méchants d’Ettore Scola, par un auteur très reconnu de l’autre côté des Alpes.